Partager l'article ! J'aime le sexe zoophile !: Je dois vous dire que je suis un homme qui vit seul en ce moment... ...
Sexe Zoophile
Lorsque nos amants sont des animaux !
Chaque jour du sexe hors normes
Je dois vous dire que je suis un homme qui vit seul en ce moment...
Un soir, après que nous ayons fini un cours d’équitation, le club hippique se vidait progressivement pendant que je brossais le cheval que l’on m’avait confié, lorsque je réalisais que j’étais seul dans l’écurie, pendant que le propriétaire du club était dans son bureau.
Au moment de déposer le harnachement de mon destrier à la sellerie, j’entendis du bruit dans un box où se trouvait Orbiny, le seul entier (cheval non castré, mais pas reconnu comme étalon) du club hippique.
Après avoir posé rapidement et en silence mon matériel, j’approchais doucement du box en question, et surpris une des cavalières de mon cours qui caressait lentement le bas ventre et l’entre cuisse d’Orbiny.
N’ayant pas remarqué ma présence, je décidais de la laisser continuer afin de voir ce qu’elle avait en tête. Le sympathique
Orbiny, car c’était un des plus gentil cheval entier qu’il m’aie été donné voir, avait déjà son sexe entièrement sorti.
La petite coquine pris alors cet énorme phallus dans la main et se mis à le masturber lentement pendant qu’il grossissait à vue d’œil.
Tout en continuant à branler l’animal, et après avoir nettoyé son pieu à l’aide d’un gant de toilette, je vis la petite ingénue dégrafer son pantalon avant de
plonger une de ses mains à l’intérieur. Après une à deux minutes, elle se mit accroupie sous le ventre d’Orbiny et sortit la main de son pantalon pour lécher ses doigts avant de les y replonger à
nouveau.
Je n’en croyait pas mes yeux, cette petite coquine à peine plus vieille que moi, était en train de se fourrer des doigts dans la chatte pendant qu’elle masturbait un cheval en pleine érection. Le spectacle était si excitant, que je décidais de me masturber à mon tour, vu que j’étais également en pleine érection et que ma bite avait rarement été aussi dure. Mais manquant encore d’expérience à l’époque, j’éjaculais presque aussitôt, dévoilant en même temps involontairement mon poste d’observation tant mon plaisir avait été peu discret.
Ma cavalière sexy et son amant chevalin furent tout deux très surpris d’être interrompu de la sorte, et la surprise laissa très rapidement place à la honte que l’on
pouvait lire sur le visage désormais rougeoyant de cette petite effrontée. Les secondes qui suivirent à ce moment là, paraissèrent interminables jusqu’à ce que la petite cochonne reprenne le
contrôle de ses émotions et me propose de venir la rejoindre dans le box pour que je la vois finir ce qu’elle avait commencé.
Après les avoir rejoints, je ne mis pas longtemps à rebander comme un âne, tant ce qui se passait devant moi était incroyable. La petite coquine était en train de descendre complètement son pantalon, laissant apparaître un corps et un petit cul parfait. Elle me confia son pantalon totalement trempé de mouille que je mis sur l’une de mes épaules tout en reniflant son odeur subtile et m’aperçu qu’elle ne portait pas de culotte.
Cette jolie petite blonde désormais à moitié nue, se remis accroupie sous Orbiny dont le sexe était toujours aussi gonflé de désir et repris là où elle en était, en le branlant de nouveau.
Au bout de quelques minutes, je remarquais que cette cochonne était si excitée, que le jus provenant de sa chatte ruisselait le long de ses cuisses avant de tomber sur la paille fraîche. Régulièrement elle plongeait ses doigts au plus profond de sa fente afin de récupérer un peu de ce nectar pour continuer à s’en délecter. Au bout d’un moment, alors que ses doigts s’agitaient à nouveaux dans sa fente, elle commença à sucer la gigantesque bite de cheval faisant aller et venir sa langue sur le cylindre rose et noir d’Orbiny
.
Au fur et à mesure que les minutes passaient, les doigts de cette cochonne s’agitaient frénétiquement dans sa chatte, lorsque soudain elle mit dans sa bouche
l’énorme gland dégoulinant de liquide séminal de son amant chevalin. Cette fellation bestiale l’a mis dans une transe telle, qu’elle me demanda en haletant si je voulais bien la sodomiser. Tout
en continuant à masturber et à sucer le pieu de ce magnifique cheval, elle se releva, me présentant sa croupe.
La vision de ce magnifique petit cul tendu et offert à ma bite sans aucune retenue, me mit dans un état sans pareil. Après avoir lubrifié son petit trou avec ma langue et le jus provenant de la chatte brûlante de cette dévergondée, je rentrais ma bite avec d’infinies précautions au plus profond de son intimité. Je commençait alors lentement mes va et vient dans son cul, pendant qu’elle poussait des râles de plus en plus fort à mesure que j’accélérais le mouvement.
Il ne fallut pas plus de deux à trois minutes de ce traitement insolite, pour que notre amant à quatre pattes n’en puisse plus et se décide enfin à vider ses
couilles bien pleines dans la bouche de sa jeune maîtresse. Le sperme gicla de partout, tant la quantité et la puissance de l’éjaculation du cheval était puissante. La petite cochonne ne pu
rester qu’une fraction de seconde en face de ce jet hallucinant de foutre bestial, la projetant en arrière contre
mes couilles qui se vidèrent en même temps au plus profond de son cul.
Nous étions maintenant tout les trois complètement inondés de sperme chevalin, et ma belle petite blonde mit quelques secondes avant de reprendre tous ces esprits. Quant à moi, intrigué par cette expérience insolite, je profitais de ce moment là pour aller goutter l’épaisse semence qui coulait encore un peu de la bite d’Orbiny. Tandis que je nettoyais son pieu jusqu’à la dernière goutte foutre avec ma langue, j’observais mon extraordinaire petite cochonne dont le trou du cul dégoulinait de mon sperme pendant qu’elle remettait son pantalon.
Une fois toute cette agitation retombée et après nous être rhabillés au mieux, nous avons brossé notre étalon adoré pour le remercier de sa participation et le
calmer avant de le laisser dormir. En sortant du club hippique, le propriétaire du club était toujours dans son bureau à faire de la paperasse, et j’embrassais à pleine bouche ma fougueuse
cavalière dont les yeux brillaient encore de plaisir.
Tout le reste des semaines suivante, et jusqu'à ce jour, furent ponctuées par de nombreuses autres partouzes équestres avec Orbiny et cette petite cochonne,
avec qui je venais de créer une incroyable complicité.