Dimanche 27 avril 7 27 /04 /Avr 09:30

 

 

 

Bernadette est tête basse, des larmes dans les yeux. Elle ne sait pas où tout cela va la mener, mais elle est sûre qu’elle s’est faite piéger et qu'elle n'a pas d’autre choix que de subir le bon vouloir et la perversion du type qu’elle a devant elle.
- A genoux, dit Julien.
- Écarte bien tes cuisses salope que je puisse voir ta minette, et cambre bien ton petit cul.
L'homme commence à transpirer en regardant les seins, et la chatte légèrement entrouverte et bien visible entre les jambes écartées de la fille qui sent une certaine excitation et même une certaine moiteur entre ses cuisses, de se sentir à la merci et sous l’emprise de ce type.
- Paul, viens ici dit Julien en s’adressant à son frère.
- Tu vois cette femelle à genoux, tu vas te branler devant ses yeux et lui asperger la figure de ton foutre.

 

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Bernadette est effarée par ce qu’elle vient d’entendre. Dans la seconde qui suit, elle voit Paul sortir un sexe tout violacé et de belle dimension de son pantalon, il s'approche d'elle et commence à se masturber à quelques centimètres de sa figure. Le sexe imposant et bien raide a une odeur d’urine, au bout d’un certain temps de ce traitement, il se tend vers la fille qui toute rougissante n’en croit pas ses yeux.
Les yeux emplis de larmes Bernadette effarée voit le sexe se raidir encore plus, puis il tressaute et un puissant jet de sperme s'abat sur ses joues et ses lèvres, elle ferme les yeux pour ne pas prendre la deuxième salve qui tapisse son front son nez et ses paupières de cette substance blanchâtre, épaisse et collante. 
Allez essuie toi lui dit  Julien en lui tendant un rouleau de papier et positionne toi à quatre pattes, les cuisses bien ouvertes, cambre toi un peu plus que je vois bien ta moule lui dit l’homme, car je vais t’enfiler comme une chienne.
La jeune femme est abasourdie par ces propos, elle va se faire prendre à même le sol comme une traînée par ce type qui a sorti un membre encore plus gros et surtout plus long que le précédent.

 

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Elle sent deux mains qui lui écartent les cuisses et qui passent sur sa fente qui est maintenant toute humide, puis elle sent un sexe d'homme qui cherche ses grandes lèvres. Elle se raidit en sentant le gland s’appuyer sur son sexe qui s’ouvre sous la pression, l’homme lui ordonne de ne pas se contracter et surtout de ne pas crier. Le pénis est d’une taille impressionnante, il s'enfonce lentement dans sa moule. Il est gros, il lui fait assez mal en s’insérant dans ses chairs intimes assez tendres. 
Le pénis qui est très vite au fond de son ventre, tressaute dans ses chairs tendres et humides. Elle sent les gros testicules battre contre ses lèvres et ses fesses. Puis il commence un va-et-vient, lentement d'abord puis il s’enfonce tout au fond de son vagin arrachant quelques plaintes à la femelle qui n’a jamais connu pareille pénétration.

 

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Julien change alors sa façon de faire. Deux mains agrippent ses fesses et le sexe la laboure à grands coups qui la font sursauter à chaque fois que le gland percute assez fortement le fond de son utérus. Ses fesses claquent sous les coups de boutoir du mâle qui la baise brutalement. Elle sent soudain de longs jets de sperme frapper et tapisser le fond de son vagin. C'est terminé. L'homme s'est retiré. Son vagin, encore bien ouvert par l’impressionnant mandrin, laisse couler des filets de liquide blanchâtre le long de ses cuisses assez pales.

Non pas ça dit Bernadette en ouvrant grand les yeux, je ne veux pas, elle a vite compris ce qu’ils voulaient faire, elle essaie de se relever pour se soustraire à la langue de l’animal, mais la main de l'homme est plus rapide et la retient fermement.

 

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Un ordre claque, ne bouge pas et laisse toi faire, lui aussi veut t’emmancher, il aime se faire des belle cochonnes comme toi, tu vas voir tu vas aimer, il va bien te baiser et tu vas adorer te prendre cette belle tige dans l’abricot.
– Regarde comme il bande.

Effectivement en tournant son regard, elle découvre un sexe tout veineux et assez gros et long qui pointe sous le ventre de la bête.
L’animal la lèche longuement avec sa langue râpeuse, sentant le plaisir venir malgré elle Bernadette s’abandonne en poussant de petits cris devant les deux hommes qui se réjouissent de la voir prendre son pied sous les coups de langue qui pénètrent profondément ses parties intimes assez sensibles.

 

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Le chien qui désire autre chose saute sur le dos de Bernadette qui sous le poids de la bête s’affaisse  , l’animal enserre son corps de ses pattes avant en essayant de la pénétrer.

Après plusieurs tentatives infructueuses, le pieu se plante dans son ventre en percutant violemment le fond de sa matrice en lui arrachant un cri de douleur. Les hommes qui ont été rejoints par deux autres types se régalent en plaisantant et en encourageant la bête qui se démène dans le ventre de la femelle qui transpire et couine de plaisir.
Bernadette surprise d’être écartelée par la boule de l’animal qui grossit dans son ventre, se met à crier à l’adresse des voyeurs.
"Sortez-moi cet animal, il va me déchirer, il me fait mal !"

Sous la pression et la douleur, la mignonne stressée manque de s’évanouir sous les yeux des hommes qui ont sorti leur sexe pour s’astiquer en regardant la bête se farcir la blondinette.

Au bout de plusieurs minutes, l’animal ne bouge plus, les deux amants sont soudés, le chien la bouche ouverte halète attendant de pouvoir se libérer de sa femelle.
Quand il se désaccouple, en se retirant, le pénis laisse échapper une quantité impressionnante de liquide qui coule en longues traînées sur les cuisses de ma chérie.

 

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Va tu peux partir lui dit Julien, je t’attends demain à la même heure…
Bernadette après s’être essuyée et rhabillée rapidement quitte les lieux sans un regard pour les types.
Elle m’avouera avoir eu assez peur et avoir paniqué sous la pression de la boule dans son vagin, elle reconnaîtra avoir ressenti un certain plaisir de s’être faite prendre par cette bête qui lui avait labouré la chatte sans ménagement.
Quelle salope je suis, avait pensé la jeune femme en quittant l’établissement.

 


Par sexezoophile - Publié dans : Sous la contrainte
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