Sexe Zoophile

 

Je me promène dans la campagne en profitant de ce beau week end lorsque mon attention est attirée...

Les deux jeunes femmes ont manifestement la même envie de se faire baiser par le cheval.

 

 

C'est apparemment  une bête sauvage et nerveuse qui plaît beaucoup à toutes les deux . A côté du cheval, elles se sentent bien l’une comme l’autre avec cette énorme bite qui passe entre leurs mains.

Les deux jeunes femmes sont tellement complices qu’elles se partagent l'animal sans avoir à rien demander.

L'une s’occupe de la bite du cheval en le masturbant énergiquement tandis que l’autre se courbe devant lui.

La position parfaite pour être sodomisée.

 

La première commence à sérieusement exciter l'étalon en introduisant la bite de la bête dans sa bouche qui se dilate pour pouvoir l'acceuillir.

Je vois que l'autre fille vibre déjà d’envie.

Le cheval s’excite ardemment et sa bite se dresse très rapidement.

Il stimule grave, bien prêt à attaquer le sexe des femelles et à défouler sa grand bite.

La pompeuse sort la bite de l'animal de sa bouche et la passe entre les cuisses de sa copine pliée en deux, placée pour se faire mettre par derrière.

Elle tient fermement la bite du cheval et pilonne le sexe éclaté de sa partenaire.

La baisée se maintient difficilement en position de levrette sous les coups de boutoir de l'engin qui lui défonce le vagin. Elle cherche la meilleure position en écartant bien ses jambes qui tremblent de plus en plus... 

L’autre femme tient toujours dans sa main la grosse bite qu'elle sort du vagin pour l'enfoncer très fort dans le petit cul de sa copine.

 

A voir sa physionomie métamorphosée, grimaçante, on voit que la jeune femme sent bien la bite qui remplit son anus, et qu'elle apprécie amplement, même si c'est douloureux.

Elle jouit longuement de ces coups de bite bien dures  dans son cul.

Je vois l'anus qui s’élargit , prêt à éclater.

La pénétration est si démentielle, exaltante, que la fille se masturbe elle-même la main entière dans son vagin.

Puis l'autre fille prend le relais et se fait enfiler par l'animal... L'une comme l'autre deviennent les femelles en chaleur de l'animal qui ne se lasse pas de les ramoner avec vigeur.

Elles acceptent volontiers le sperme abondant du cheval dans leurs orifices intimes.

Le jus épais coule de leur trous, sur leur ventre, leurs cuisses.

Elles se lèchent avec frénésie et avalent le jus en s'embrassant goulument.

Le cheval parait appaisé, lui aussi, de s'être déchargé dans les orifices intimes des deux femelles.

Un peu jaloux, un peu envieux je reprends ma balade dans tous mes états.

Faudra que je tente moi aussi, très vite, l'expérience...