Sexe Zoophile

 

 

 

 

Je me baladais seule dans la campagne...

J'ai vu cet étalon qui me regardait approcher...

Le cheval avait sorti sa grosse queue qui pendait toute noire. Il avait de très grosses couilles!

Je ne sais pas ce qui m’a prise, mais tout à coup j’ai eu une envie folle de lui sucer son impressionnante pine.

Je me suis approchée.

Dominant ma peur, car c'étais la première fois que j'agissais de la sorte, en le caressant sur le front, j'ai passé ma main sous lui...

Et là !! Quelle formidable sensation j'ai éprouvé en masturbant le gros membre viril du cheval.

J'ai senti tout de suite que je mouillais entre mes cuisses tremblantes d'émotion !!

 

 

 

 

 

 

 

J'ai longuement hésitée et puis je me suis agenouillée sous l'animal tout doucement.

Précautionneusement pour ne pas risquer d'être blessée.

J'ai dépassé ma timidité, j'ai osée me mettre toute nue.

Au risque d'être découverte ansi par des promeneurs.

Sans un mot,  j’ai pris son énorme sexe entre mes doigts et j’ai recommencée des va-et-vient très sensuels avec mes deux mains.

Je ne me reconnaissais pas!!!

J'aurais voulu arrêter, m'enfuir, mais c'était devenue impossible...

Je me sentais toute drôle, transformée, terriblement excitée.... 

 

 

 

 

 

 

 

 

La grosse bite de l'étalon a immédiatement gonflé davantage encore. Elle s’est allongée  et est devenue très impressionnante et dure. Elle faisait au moins 80 centimètres.

C’était chaud et doux. Une fantastique sensation !

J’ai approché ma bouche et j’ai passé ma langue sur un étonnant petit tuyau qui était en plein centre de son gland dilaté. 

C'était dur et très bizarre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ma langue passait et repassait sur ce membre viril comme je n'en avais jamais vu !

Tout à coup du liquide blanc très important mais très clair au goût de rouille m’a inondé le visage et le menton, coulant sur mes seins par mon décolleté !

Prise d’une envie soudaine que je ne peux m’expliquer, je me suis mise à masturber ma fente entre mes cuisses écartées...

toute nue très vite tout en le suçant. J'essayais de mettre son sexe dans ma bouche au plus profond.

 

 

 

 

J’ai écarté le plus largement possible les lèvres de mon vagin en me plaçant carrément sous son ventre.

La grosse pine de l'étalon a cogné contre ma fente : c’était inouï !

 

 

 

      

 

 

 

Le cheval tapait un peu des pieds arrières d'exitation lorsque je me suis fourrée enfin sa bite dans mon vagin qui se dilatait fortement.

Je ne devais quasiment rien faire, c'est lui qui me baisait !

L'animal en rut me remplissait totalement le vagin qu'il agrandissait excessivement : c'était trop bon.

Je jouisssais comme une femelle en chaleur...

A un moment, je poussais très fort en même temps que l'animal, et tout d’un coup je ressentis comme une douleur dans mon sexe.

 

 

 

 

 

 

 

Le cheval poussait très très fort, j'ai eu un moment de crainte qu'il me déchire la chatte. 

J’ai failli tomber 2 ou 3 fois.

Mais la peur qu’il ne se finisse pas en moi me faisait tenir sa grosse bite à deux mains en arrière.

Je serrais très fort son pieu dans mes mains.

Tout d’un coup il a durci encore plus son engin.

 

 

Je n'ai pas réfléchi aux conséquences éventuelles lorsque j'ai sorti le sexe de ma chatte pour le glisser entre mes fesses.

 

 

 

 

 

 

 

Mon anus a résisté durant un temps qui m'a paru interminable. 

Je grimaçais de douleur en voulant aider la bête à forcer mon passage anal.

Je poussais des cris déchirant tandis que des larmes de douleur et de plaisir coulaient le long de mon visage. 

Enfin l'orifice anal céda à la pression.

 

 

 

 

 

 

 

 

Le phallus du cheval c’est introduit plus profond en moi.

J’ai hurlé de douleur tellement ça faisait mal.

Mais au bout d'un moment, tenant sa quiquette bien fort dans mon anus, la douleur a semblé diminuer.

Le gland et toute sa longueur de bite du cheval ont semblé gonfler encore.

 

 

 

 

 

 

 

Soudainement, tandis que l'étalon hénissait comme un sauvage j’ai senti une énorme quantité de purée de sauce de semence gicler dans mes entrailles.

Le liquide épais jaillissait de  mon anus, dégoulinait le long de mes jambes jusqu’aux mollets.

C’était ahurissant !

Après de nombreux va et vient de la pine dans mon ventre secoué de mouvements incontrôlables, sa bite est ressortie avec un gland atrophié.

 

Jamais je n'aurais pensée pouvoir être remplie comme ça!!

 

 

 

 

 

 

Vite, j'ai reprise le membre viril du cheval pour l'introduire dans mon vagin, afin que je puisse jouir par le clito...

L'érection intacte j'ai encore joui et joui...

J’ai mis ensuite de très longues minutes avant de reprendre mes esprits.

Pour disparaitre avec mon cul et mon vagin rempli de foutre chaud qui coulait toujours sur moi et dans mes intimités de femelle comblée...