Nous sommes allés, mes parents et moi chez un collègue de mon père qui habitait pas très loin de chez nous pour boire l'apéritif.

Je ne voulais pas les accompagner mais devant l'insistance de mon père, j'y fus contrainte. 

La maison était agréable, avec un grand parc et une belle terrasse. Après les présentations, nos hôtes nous font entrer dans la maison, où je découvre un joli salon et une décoration de goût.

Ils nous font asseoir sur un canapé en cuir et je m'aperçois, à ce moment là que ma mini jupe remonte très haut sur mes cuisses et laisse entrevoir ma petite culotte blanche.

Gênée par cette situation, je cherche le regard de ma mère pour lui faire comprendre mon problème. Je décide donc de me lever et de m'installer à la table, sur une chaise. Je tourne un peu le dos à tout le monde. Mais, occupé à discuter, personne ne se soucie de moi.

Je bois mon jus d'orange en regardant les tableaux sur les murs et mes parents discutent de chose et d'autre avec notre hôte.

Soudain, mon attention est attirée par des aboiements. Tout le monde s’arrête de parler.

Le propriétaire nous rassure en nous expliquant que c’est son chien qu’il a enfermé dans une chambre pour que nous soyons tranquilles.

 
Je ne peux m’empêcher de protester en disant :

« pauvre bête, il doit s’ennuyer! je peux aller le voir! il est gentil, au moins? »
« Oui, oui il est très gentil! Tu n’as pas peur des chiens? »

 « J’adore les animaux! »

Je venais soudainement de retrouver le moral et j’étais très excitée à l’idée de rencontrer ce nouvel ami.

La jeune femme de la maison m’accompagna jusqu’à la chambre et me présenta à ce chien magnifique, qui d’entrée me fit une super impression.

C’était un chien de chasse, genre chien de chasse, avec un poil très court et soyeux, qui déjà me faisait la fête.

Je le caressais pendant qu’il secouait sa queue dans tous les sens.

Sa propriétaire me proposa de l’emmener dans le jardin, afin de le sortir, ce que j’acceptais avec bonheur.

Elle se proposa de nous accompagner : "pour prendre un peu l'air..."

Nous sortîmes aussitôt de la maison.

Il s’appelait Tom. Un nom qui lui allait très bien d’ailleurs!

A peine dehors, L'animal se mit à courir comme un fou et nous avions du mal à le suivre.

Cinq minutes après, nous étions toutes les deux essoufflée à le suivre.

 C’est à ce moment que je décidais de faire plus ample connaissance avec Tom.

Je m’assis sur un siège de la terrasse, pour tenter de récupérer mon souffle, en appelant Tom.

Dix secondes après il était là!

Il plongea sa truffe directement entre mes cuisses et se mit à renifler ma culotte. Il faut dire que ma position assise ne cachait pas grand-chose de mon entre jambe.

Je sentais son souffle chaud sur ma vulve et je l’encourageais en lui caressant la tête. J’ai écarté mon slip et lui ai présenté ma petite chatte toute nette.

La jeune femme qui m'accompagnait ne parut pas gênée, bien au contraire...

Le chien a commencé à me lécher les lèvres de mon vagin à grand coups de langue.

Je mouillais comme une folle.

Il n’en perdait pas une goutte.

Très rapidement j’ai commencé à être parcourue de soubresauts annonciateurs d’une forte jouissance.

Machinalement, j’ai saisi son sexe et je l’ai masturbé. Il s’est arque bouté en donnant des grands coups de reins dans le vide. Son sexe était beaucoup plus gros que je ne le pensais, et j’en fus surprise.

Il fallait faire vite, le temps était compté.

Je me suis mise à quatre pattes. La jeune femme m'a aidée à me positionner, puis à attiré le chien. La bête m’a monté directement.

La fille l’a aidé à se glisser en moi avec ma main et le chien m’a pénétrée d’un coup jusqu’à la garde.

J’étais empalée par ce sexe énorme, emplie comme jamais je ne l'avais été auparavant. 

Cette nouvelle sensation a décuplé mon plaisir.

Je crois avoir joui en même temps que lui.

L’accouplement fut bref mais d’une rare intensité.

Je sentais son foutre dans mon vagin, c’était chaud et bon.

Il s’est décollé un instant plus tard, m’a léché mon sexe bouillant en me procurant un autre orgasme et s’est recroquevillé en se léchant la queue.

J’étais écarlate, mes jambes me faisaient mal, mon sexe était en feu, mais quel pied je venais de prendre!

Nous revenions tous les trois vers la maison quand j’entendis ma mère qui m’appelait. Je me mis à courir pour justifier la couleur de mes joues et le souffle coupé. Tom gambadait comme un jeune premier, à mes côtés.

Après avoir dire au revoir, nous sommes montés dans la voiture où je me suis endormie jusqu’à la maison.

Ce fut une soirée d’enfer, j’étais morte d’amour!

 
Mais il m’en fallait encore plus…