Sonia me prenant par la main m'entraine en riant vers le fond du près en me disant qu’elle veut me faire voir quelque chose.

Nous arrivons vers une barrière en bois où est attaché un cheval qui henni en nous voyant arriver. 

Je regarde ma jolie cousine d’un œil interrogateur. 

"Tu vas voir !" me dit-elle en passant sa main sous le ventre de l’animal pour saisir un sexe qui est déjà assez imposant.

Sonia se positionne sous le ventre du petit cheval...

Elle caresse au début avec ses mains et le prend très vite dans sa bouche pour le sucer.

Par instant, elle passe sa langue sur le bout de ce pénis.

Au bout d’un moment ma cousine délurée se positionne sous l’animal à quatre pattes.

Elle a le derrière levé : c'est trop excitant !

je bande comme un malade !

Sonia me demande de lui mettre le sexe de la bête dans sa moule offerte.

 
J’hésite...

Sous le ton ferme de la cousine, j’empoigne la longue tige animale pour la faire pénétrer dans la vulve de la fille en chaleur.

A mon grand étonnement cette bite de près de trente centimètre qui est très grosse pénètre lentement dans le vagin...

La pine dilate l'orifice se faisant un passage dans le ventre de la femelle qui me demande avec fermeté de forcer davantage aller plus profond. 

Sentant la chaleur et la moiteur du vagin, le chevel en rut se met à bouger et à se raidir.

"C’est très bon" me dit Sonia

"Qu’est ce qu’il me met bien dans mon ventre ! Je le sens parfitement dans mon vagin. Il me remplit bien la foufoune.

Au bout d’un moment et après un très long va-et-vient en elle, Sonia se désunit de la bête.

Et s’adressant à moi, m'ordonne de lui enfiler le membre viril du cheval entre ses fesses.

Sonia, en transe, est visiblement très excitée.

Elle se cambre un peu plus.

Avec ses mains un peu tremblantes de plaisir sexuels elle écarte ses fesses.

Je saisis la bite bien raide de l’animal et la présente à l’entrée du rectum dilaté de ma cousine qui vient d’elle-même s’empaler d’une bonne longueur sur cette belle tige rosée.

Je suis assez surpris de la facilité avec laquelle Sonia s’est empalée sur ce pieu assez raide.

 
Après quasiment un quart d'heure d'allers-retours dans son intimité anale, ma cousine en transe se désaccouple encore...

Pour de nouveau prendre l'engin en bouche.

C’est alors que je vois un liquide qui coule de la bouche de la petite salope transformée en jument à la disposition de son mâle.

Sonia me regarde en souriant et en passant sa langue sur ses lèvres empreintes de cette substance blanchâtre.

Si je m’attendais à voir ma cousine branler, puis sucer, puis prendre le pénis d’un cheval dans ses intimités féminine !...

Quelle cochonne, cette fille !

En me tenant ma bite tendue pour empêcher qu'elle explose.

Et Sonia qui me fait signe d'approcher pour me joindre à la belle et à la bête qui n'en ont pas terminés avec le sexe.